samedi 21 novembre 2009

AYA DE YOPOUGON - TOME 5


AYA DE YOPOUGON - TOME 5

Toujours aussi pêchu, coloré, truculent et imagé dans les dialogues, un tome qui donne le sourire et la bonne humeur, et qui, en cela, n'a rien à envier aux précédents.
Divertissant à souhait, on est toujours confronté à de nouveaux rebondissements, dont un qui nous laisse en plan à la dernière page (pfffrtt...).

Ici, les Sissoko sont toujours à la recherche de leur fils, Moussa (très curieuse d'en savoir plus sur ses aventures, ce tome laissant entendre quelques évènements cocasses - mais on en saura plus au tome suivant - enfin, j'espère!), Innocent se cherche toujours à Paris, j'aime particulièrement ces épisodes ancrés dans notre capitale, j'ai trouvé excellent celui des pigeons! - de nouveaux développements en perspective pour Innocent dans le prochain tome aussi.

jeudi 19 novembre 2009

L'HOMME QUE L'ON PRENAIT POUR UN AUTRE


L'HOMME QUE L'ON PRENAIT POUR UN AUTRE

Repéré chez Liliba, j'ai tout de suite su que ce livre allait me plaire - et bingo ! Voilà un auteur que je garde dans mes petits carnets et dont j'ai très envie de lire les autres romans.

Quatrième de couv':

"Deux yeux, un nez, une bouche, ça rappelle forcément toujours quelqu'un à quelqu'un."

Mais notre homme - au fait, a-t-il un nom (ça m'échappe là) ou est-il anonyme au point que son nom n'a aucune sorte d'importance? De toute façon, on ne le prend jamais pour lui - est particulièrement mal loti. La banalité de ses traits, son visage si commun, fait qu'on le prend systématiquement pour un autre, mais ce qui est particulièrement jouissif, c'est que de guerre lasse, notre personnage finit par se résigner à son terrible sort et accepter d'être celui pour qui on l'a pris.

Jöel EGLOFF


L'HOMME QUE L'ON PRENAIT POUR UN AUTRE

J'ENQUÊTE

samedi 14 novembre 2009

LA REVANCHE DES OTARIES


LA REVANCHE DES OTARIES

Un signe qui ne trompe pas, c'est dans le métro (contexte heures de pointe, visages fatigués, énervés et souvent aigris), quand on relève les yeux de son livre et qu'on se rend compte qu'on affiche un air hilare -> c'est tout à fait ce qui m'est arrivé (maintes fois) avec ce petit livre!

C'est que l'auteur, très inspiré ici, nous offre là un roman férocement drôle et désopilant. La légende veut que sa fille lui demanda un jour s'il y avait des dinoZores dans l'Arche et hop!, Vincent Wackenheim nous revisite le récit du Déluge et réorganise l'Arche de Noé à sa sauce.

Parfois irrévérencieux, voire blasphématoire, âmes sensibles ou non dotées d'humour s'abstenir!
Ici, les animaux sont organisés en comité, des décrets de non-consommation d'autrui (ex-ce-llent!) et de non-prolifération (ex-ce-llent!!) sont mis en place, Noé doit appliquer des méthodes de management efficaces pour faire régner l'ordre.

Vincent WACKENHEIM


LA REVANCHE DES OTARIES

LA GUEULE DE L'EMPLOI