dimanche 28 juillet 2013

LA VIE COMMENCE À 20H10


LA VIE COMMENCE À 20H10

Un titre accrocheur et intrigant, une couverture à la Bagieu/Motin qui présage un récit dans l'air du temps et un univers un peu chick-litien, comédie drôle et tendre à l'américaine, ce qui n'a pas manqué attiser ma curiosité dans la mesure où l'auteur est mâle ET français, une blogosphère plutôt enthousiaste, et hop, me voilà embarquée à mon tour dans la découverte de ce roman que j'avais assimilé divertissant, léger, détente, un poil bluette, exactement ce qu'il me fallait alors que je traversais une période peu favorable à la lecture.

Des sentiments partagés en cours de lecture :
- tout d'abord, ce n'est pas du tout de la chick-lit façon bluette. Me voilà surprise d'être surprise d'être un poil déçue (j'aime la chick-lit bluette, moi ?!?).
- le ton n'est pas à l'humour. Bon, on n'est pas dans la tragédie non plus mais le ton est assez sérieux et les personnages principaux manquent de folie pétillante et de ces fameux travers humains dans lesquels on se plaît à se reconnaître (ou pas) et qui nous amusent tant.

Thomas RAPHAËL


LA VIE COMMENCE À 20H10

mardi 23 juillet 2013

WALKING DEAD - TOME 7


WALKING DEAD

                Tome 7 - DANS L'OEIL DU CYCLONE

Incredible, I know, mais après avoir boudé cette série un certain temps (1 an et 1 mois exactement) pour cause de scènes insupportables et inadmissibles au tome 6, j'ai fini par céder à la curiosité de lire la suite.
Il faut dire que les auteurs n'en ont rien à faire de ma sensibilité ni de mes coups de gueule et que la série suit son cours tranquillou. On en est au tome 17 je crois, le 18 est à paraître en septembre, et bon, même si je clame et re-clame que je ne suis pas la fan-type de cette série, la curiosité du dénouement de l'histoire reste bien présente, et le fait que la série en soit à son 18è tome m'intrigue forcément... (c'est que je prends un sacré retard en plus...)

Premier soulagement, je ne me suis pas perdue au milieu des personnages à la lecture des premières pages, j'ai vite retrouvé mon monde et mes repères, qui est qui, qui fait quoi, où quand quoi qu'est-ce...

lundi 22 juillet 2013

IKIGAMI, PRÉAVIS DE MORT - TOME 10


IKIGAMI, PRÉAVIS DE MORT - TOME 10

Enfin le dernier tome, et surtout, enfin une série achevée côté manga (ce qui me laisse libre cours pour en entamer une nouvelle^^) !

Une fin qui m'a laissée comme sur ma faim, légèrement déçue. Pas forcément prévisible mais sans grande surprise, sans originalité, plutôt comme on pourrait s'y attendre. Dommage car la série m'avait convaincue dès ses premiers tomes et présentait un intérêt croissant de tome en tome, ce qui me laissait espérer un final un peu plus marquant.

Un petit rappel du pitch pour résumer le contexte : "Que feriez-vous s'il vous restait 24 heures à vivre ? Pour rappeler à tous la valeur de l'existence, une loi a instauré l'Ikigami, une sorte de préavis de mort qui ne laisse qu'une journée de répit à celui qui le reçoit..."

dimanche 14 juillet 2013

CERTAINES N'AVAIENT JAMAIS VU LA MER


THE BUDDHA IN THE ATTIC

( CERTAINES N'AVAIENT JAMAIS VU LA MER )

traduit de l'anglais (américain) par Carine Chichereau


La quatrième de couv' est parfaite. Je l'ai pourtant lue en diagonale de nombreuses fois mais quelque chose me retenait de me précipiter. Les mots "poétique", "incantatoire", "choeur antique", entre autres... Pas trop ma tasse de thé à première vue comme ça, et pourtant, j'ai adoré précisément cette écriture dont la description dans la présentation de l'éditeur, est, à mon grand dam, parfaitement exacte !

De même, les nombreux avis enthousiastes sur la blogosphère m'ont plus freinée que tentée. Et pourtant, passionnée que je suis par tout ce qui touche de près ou de loin le Japon, ce livre était clairement pour moi ! Écrit par une Américaine d'origine japonaise. Un récit qui témoigne de la vie de ces Japonaises contraintes par la misère de quitter leur pays au début du XXè siècle, pour une vie qu'elles croient meilleure aux États-Unis, promises chacune à un homme qu'elles ne connaissent pas...

Julie OTSUKA


CERTAINES N'AVAIENT JAMAIS VU LA MER