BOOK TRIPS

AUTEURS ET THÈMES PAR PAYS

dimanche 26 septembre 2004

SHUTTER ISLAND


SHUTTER ISLAND

Présentation de l'éditeur
"Nous sommes dans les années cinquante. Au large de Boston, sur un îlot nommé Shutter Island se dresse un groupe de bâtiments à l'allure sinistre. C'est un hôpital psychiatrique dont les patients, tous gravement atteints, ont commis des meurtres. Lorsque le ferry assurant la liaison avec le continent aborde ce jour-là, deux hommes en descendent : le Marshal Teddy Daniels et son coéquipier Chuck Aule. Ils sont venus à la demande des autorités de la prison-hôpital car l'une des patientes, Rachel Solando, manque à l'appel. Comment a-t-elle pu sortir d'une cellule fermée à clé de l'extérieur ? Le seul indice retrouvé dans la pièce est une feuille de papier sur laquelle on peut lire une suite de chiffres et de lettres sans signification apparente. Œuvre incohérente d'une malade ou cryptogramme ? Au fur et à mesure que le temps passe, les deux policiers s'enfoncent dans un monde de plus en plus opaque et angoissant, jusqu'au choc final de la vérité.
Avec Shutter Island, Dennis Lehane est au sommet de son art."

mardi 14 septembre 2004

LE PAVILLON DES CANCÉREUX


LE PAVILLON DES CANCÉREUX

traduit du russe par Alfreda et Michel Aucouturier, et Georges et Lucile Nivat

Quatrième de couv :
En 1955, au début de la déstalinisation, Alexandre Soljenitsyne est exilé dans un village du Kazakhstan, après huit ans de "goulag". Il apprend alors qu'il est atteint d'un mal inexorable dont le nom seul est un objet de terreur. Miraculeusement épargné, il entreprendra quelques années plus tard le récit de cette expérience.
Au "Pavillon des cancéreux", quelques hommes, alités, souffrent d'un mal que l'on dit incurable. Bien que voisins de lit, Roussanov et Kostoglotov ne se parlent pas. Pour l'un, haut fonctionnaire, la réussite sociale vaut bien quelques concessions. Pour l'autre, Kostoglotov, seule compte la dignité humaine. Pour ces êtres en sursis, mais également pour Zoé la naïve, Assia la sensuelle, Vadim le passionné, c'est le sens même de leur vie qui devient le véritable enjeu de leur lutte contre la mort. Une œuvre de vérité.

samedi 11 septembre 2004

THE DA VINCI CODE


THE DA VINCI CODE

( DA VINCI CODE )


Bon, on peut dire tout ce qu’on veut de ce livre, il est tout sauf ennuyeux !
J’ai passé un chouette moment à travers Paris et Londres (principalement), et j’ai appris de ces trucs sur Le Louvre, l’Eglise St-Sulpice, De Vinci (personnage fascinant), ses tableaux, le Graal, les Templiers, le paganisme, le tarot et bien d’autres choses, c’est fou, le truc qui vous fait aller sur le net pour vérification. Parce que le Brown, dès qu’il vous sort un mot, il se lance dans des explications qui vont de l’étymologie, aux légendes et faits liés à ce mot, objet, etc… Alors info ou intox, des théories folles, ça c’est sûr, mais passionnantes ! Comme il dit au cours du roman : "Everyone loves a conspiracy". Très vrai si on s'en réfère au phénomène monstre que le roman a déclenché (des circuits organisés dans le Louvre et Paris, basés sur le livre, l'assaut de l'Eglise Saint-Sulpice par des lecteurs allumés, etc). Et pis des énigmes, des mystères, des rebondissements à n’en plus finir, captivant jusqu’au bout !