ACHILLE AU PIED LÉGER
traduit de l'italien par Marguerite Pozzoli
Présentation de l'éditeur
"Ulysse, auteur en mal d'inspiration, travaille dans une petite maison d'édition du nom de Forge qui, face à une concurrence de plus en plus déchaînée, est menacée de perdre son âme. Frappé par des accès de sommeil impromptus et poursuivi, jusque dans ses rêves, par les auteurs des manuscrits qu'il doit lire, il se réfugie dans son amour pour Pilar Pénélope, une BTLSPS (beauté typiquement latino sans permis de séjour), mais cède également volontiers aux avances de sirènes telles que Circé, secrétaire du directeur de la maison d'édition...
C'est alors qu'Ulysse reçoit un étrange courriel provenant d'un certain Achille, qui souhaiterait lui parler. Intrigué, il accepte et découvre, au fin fond d'un palais bourgeois, un jeune homme cloué à vie dans un fauteuil roulant. Une amitié hors du commun naît entre eux ; elle bouleversera leurs existences. Virtuose dans l'art de jongler avec des situations désopilantes, Stefano Benni, grâce à sa langue inventive et moqueuse, crée un univers à la fois fantastique et étonnamment familier."
"Ulysse, auteur en mal d'inspiration, travaille dans une petite maison d'édition du nom de Forge qui, face à une concurrence de plus en plus déchaînée, est menacée de perdre son âme. Frappé par des accès de sommeil impromptus et poursuivi, jusque dans ses rêves, par les auteurs des manuscrits qu'il doit lire, il se réfugie dans son amour pour Pilar Pénélope, une BTLSPS (beauté typiquement latino sans permis de séjour), mais cède également volontiers aux avances de sirènes telles que Circé, secrétaire du directeur de la maison d'édition...
C'est alors qu'Ulysse reçoit un étrange courriel provenant d'un certain Achille, qui souhaiterait lui parler. Intrigué, il accepte et découvre, au fin fond d'un palais bourgeois, un jeune homme cloué à vie dans un fauteuil roulant. Une amitié hors du commun naît entre eux ; elle bouleversera leurs existences. Virtuose dans l'art de jongler avec des situations désopilantes, Stefano Benni, grâce à sa langue inventive et moqueuse, crée un univers à la fois fantastique et étonnamment familier."
Zut, ce n'est plus très frais dans ma tête pour faire un commentaire de ce livre...
La dernière phrase du résumé correspond bien à ce que j'aurais aimé souligner cela dit "...art de jongler avec des situations désopilantes, ...langue inventive et moqueuse, ...un univers à la fois fantastique et étonnamment familier".
J'ajouterais juste que je l'avais trouvé particulièrement trash dans ce roman, et ça m'avait assez marquée, trash dans le sens cru, notamment au niveau de certaines descriptions sexuellement connotées, et autres éléments de l'histoire (situation des personnages, dialogues...) Ce n'est pas dérangeant mais assez surprenant (et marquant ! - ben vui, visiblement ça m'a marquée puisque j'en ai encore un souvenir frais à ce jour).
Enfin, on est déjanté ou pas, hein...
En tout cas, toujours aussi bon, toujours aussi original, toujours beaucoup d'humour (même si le thème de ce roman-ci verse plutôt dans le tragique, et malgré l'humour, l'histoire en elle-même est franchement dramatique), et toujours cette même envie de lire d'autres livres de cet auteur.
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