LA MORT À DEMI-MOTS
traduit du coréen par Choi Kyungran et Isabelle Boudon
Présentation de l'éditeur
"A notre époque, il n'y a que deux voies pour ceux qui aspirent à être un dieu : la création et le crime" : ainsi parle le narrateur, qui explore l'art de détruire autrui. Ce qu'il aime par-dessus tout, c'est révéler leur pulsion de mort à ses victimes, "jusqu'au stade où la personne devient digne d'être mon client". Le passage à l'acte n'est plus que formalité technique, quand compte avant tout l'osmose plus ou moins réussie entre le " tuer " et sa victime [...].
"Ouh la la la la! Qu'est-ce que c'est bizarre ce livre!" je me suis exclamée plusieurs fois (dans ma tête), assez déstabilisée, vraiment pas à l'aise pendant la lecture, j'en ai même fait de drôles de rêves une nuit tellement l'atmosphère est perturbante!
Je ne saurais même pas trop comment en parler... Le mieux, c'est que je vous renvoie directement vers le commentaire de Catherine qui m'avait vraiment intriguée.
"A notre époque, il n'y a que deux voies pour ceux qui aspirent à être un dieu : la création et le crime" : ainsi parle le narrateur, qui explore l'art de détruire autrui. Ce qu'il aime par-dessus tout, c'est révéler leur pulsion de mort à ses victimes, "jusqu'au stade où la personne devient digne d'être mon client". Le passage à l'acte n'est plus que formalité technique, quand compte avant tout l'osmose plus ou moins réussie entre le " tuer " et sa victime [...].
"Ouh la la la la! Qu'est-ce que c'est bizarre ce livre!" je me suis exclamée plusieurs fois (dans ma tête), assez déstabilisée, vraiment pas à l'aise pendant la lecture, j'en ai même fait de drôles de rêves une nuit tellement l'atmosphère est perturbante!
Je ne saurais même pas trop comment en parler... Le mieux, c'est que je vous renvoie directement vers le commentaire de Catherine qui m'avait vraiment intriguée.