dimanche 20 septembre 2009

LES GOUTTES DE DIEU - TOME 5


Oouuh, comme j'aimerais appuyer sur "avance rapide". Au tome précédent, j'avais pressenti que cette série ne se développerait pas vite mais je pensais qu'on serait au moins sur le deuxième apôtre vers la fin de ce tome-ci... même pas!
En plus, là on vire un peu au mélo, c'est un peu exagéré et limite risible. Le vin prend maintenant une dimension quasi-magique et mystique, allant jusqu'à sauver des vies et rendre la mémoire à une amnésique.

Bon, pourquoi pas après tout, il faut bien varier les intrigues de tome en tome, mais la magie opère de moins en moins sur moi j'ai l'impression, quoique je ne me lasse pas de ces descriptions poétiques sur le vin ou un peu tirées par les cheveux (la comparaison à un roman policier était osée!!), ça m'éclate !

lundi 14 septembre 2009

LE MEC DE LA TOMBE D'À CÔTÉ


traduit du suédois par Lena Grumbach et Catherine Marcus

Repéré d'abord chez Lee Rony dont le commentaire m'a interpelée - Lee Rony ne publiant pas beaucoup de billets sur ses lectures et celle-ci semblant valoir l'effort, ça a forcément attisé ma curiosité - puis petit à petit sur la blogosphère avec tout plein d'avis plutôt positifs, je me suis laissée tenter à mon tour au détour d'une bib'.

Je m'étais attendue à une belle surprise côté littérature suédoise, le thème me semblant propice à l'humour et au tendre mais pas gnangnan, en plus dès la première page j'ai vu qu'il était fait mention de Stephen King, et une autrice suédoise qui parle de Stephen King dans son roman ne pouvait être que quelqu'un d'intéressant 😆 (ça m'a en tout cas intriguée), et c'est effectivement un moment de lecture sympathique que j'ai passé là, divertissant, amusant, mais pas non plus foudroyant d'originalité comme je l'avais peut-être espéré.

Katarina MAZETTI

 

vendredi 11 septembre 2009

AVANT LA NUIT


ANTES QUE ANOCHEZCA

AVANT LA NUIT )

traduit de l'espagnol (Cuba) par Liliane Hasson


"Mon message n'est pas un message de défaite, mais de lutte et d'espérance. Cuba sera libre. Moi je le suis déjà."

Cette phrase, lourde de sens, la dernière dans la lettre d'adieu de l'auteur, englobe à elle-seule l'essence de ce récit. Si ces quelques mots vous touchent et suscitent en vous diverses pensées et réflexions allant de l'admiration face à cette envie de croire que tout n'est pas perdu, à un sentiment de tristesse face à cette fatalité du sort, en passant par un sentiment de révolte face à l'oppression et l'injustice, que ce soit à Cuba ou ailleurs, vous saurez ce que j'ai ressenti tout au long de ma lecture.