mercredi 24 mai 2006

WANG - 1 / LES PORTES D'OCCIDENT


WANG - TOME 1

LES PORTES D'OCCIDENT

Quatrième de couv' :
"En l'an 2212, le monde est divisé en deux par le REM : une immense barrière électromagnétique. D'un côté, on trouve les pays occidentaux, à l'origine de la séparation et de l'autre, le reste du monde.
À l'Est, les croisades successives, religieuses ou idéologiques, contre la science ont fait retomber ces pays dans un quasi Moyen Âge. Confort et nourriture sont des denrées rares. Hygiène et médecine sont inexistantes. C'est le règne de la terreur orchestrée par la pègre. 
À l'Ouest, la science a poursuivi son évolution : fermes d'organes et contrôle climatique sont des réalités. C'est aujourd'hui un vrai dogme d'État. Les religions sont interdites. Les contacts physiques sont considérés comme rétrogrades. L'amour est désormais virtuel. La soupape de sécurité de cette société ultra frigide : les JU. Une compétition internationale sous forme de guerre uchronique. 

Pierre BORDAGE


WANG 1 - LES PORTES D'OCCIDENT

WANG 2 - LES AIGLES D'ORIENT

PORTEURS D'ÂMES

lundi 22 mai 2006

POULET AUX PRUNES


POULET AUX PRUNES

Le dernier Satrapi qui manquait à ma collection, j'ai enfin pu mettre la main dessus !

Bouleversant (c'est incroyable ce que quelques dessins et quelques phrases peuvent véhiculer comme émotions - encore une fois quel talent, cette Marjane !!).

La fin a donné tout son sens à cette lecture qui au départ me laissait assez dubitative, je dois admettre. Déjà, je n'avais rien compris. A cause de la couverture, je croyais que cette BD parlait d'une sorte de vilain mafieux iranien, et j'étais peu emballée, mais que nenni! Il s'agit en fait d'un joueur de tar (instrument à percussion iranien), qui, le jour où sa femme le lui casse, perd totalement goût à la vie.

dimanche 14 mai 2006

LE PROCÈS


LE PROCÈS

traduit de l'allemand par Alexandre Vialatte

Et dans mon retour aux classiques, j'ai enchaîné avec Le Procès de Kafka, et là, je dois dire, rien à voir avec Malraux, j'ai été bluffée par le talent de Kafka et je dois dire que je n'ai jamais rien lu de pareil (et pourtant j'en ai lu des romans et des genres différents).

J'ai un souvenir très vague de La métamorphose que j'ai lu il y a environ 15 ans (rraargh), un souvenir pas désagréable mais pas assez précis pour savoir quoi en dire, j'avais dû aimer sans plus, mais là dans Le procès, je le trouve véritablement ingénieux, original, talentueux (il a un style très agréable à lire, du moins la traduction est bien rendue), il a un univers très particulier (celui du fantastique en fait...) dans lequel il embarque tout naturellement son lecteur sans que celui-ci ne soit vraiment gêné par l'absurdité du thème du récit et de tous les événements qui s'y déroulent.

Franz KAFKA


LE PROCÈS

lundi 8 mai 2006

THE ULTIMATE MALLWORLD


THE ULTIMATE MALLWORLD

MALLWORLD )

Eeeuh... comment dire...

Commençons par l'auteur : "Né en 1952 en Thaïlande, élevé à Eton et Cambridge, S.P. Somtow (de son vrai nom Somtow Sucharitkul) est surtout connu en France pour sa série Vampire Junction, qui a contribué à renouveler les codes de la littérature vampirique, et pour ses Chroniques de l'Inquisition, vaste et inoubliable Space Opera publié aux Editions Denoël. "

Maintenant l'histoire :
Déjà, c'est de la SF, alors ne vous étonnez pas si je parle de Selespridars, des aliens qui ont décidé de nous baby-sitter en nous retenant prisonniers au sein d'un champ de force qui délimite notre système solaire et nous cache les étoiles. Ceci jusqu'à ce qu'ils décident que nous sommes assez mûrs pour mériter la liberté de circuler comme nous l'entendons.

S.P. SOMTOW


THE ULTIMATE MALLWORLD

lundi 1 mai 2006

L'AVEUGLEMENT


L'AVEUGLEMENT

BLINDNESS )

traduit du portugais par Geneviève Leibrich


4è de couv' :
"Un homme, assis au volant de sa voiture, attend devant un feu rouge. Il devient soudain aveugle. C'est le début d'une épidémie qui se propage à une vitesse fulgurante à travers tout le pays. En quarantaine dans un hôpital ou livrés à eux-mêmes dans la ville, privés de tout repère, les hordes d'aveugles devront faire face à ce qui, en l'homme, est le plus primitif : la volonté de survivre à n'importe quel prix. L'amour, la haine, la cruauté, l'indifférence, la peur, autant de passions qui nous aveuglent à partir desquelles José Saramago bâtit une inquiétante allégorie des temps que nous vivons. Guidés par une femme, le seul être qui n'a pas été frappé par la " blancheur lumineuse " et aveuglante, les personnages de ce magnifique et insolite roman connaîtront mille aventures tantôt dramatiques tantôt comiques avant de retrouver l'amour et la solidarité, ces humaines valeurs que, voyant, ils avaient fini par ne plus voir. "

Ce résumé est tellement bien fait que je n'ai pas grand chose à y rajouter. Mon avis perso peut-être: très bon, vraiment très bon ce José Saramago, d'autant plus qu'il s'est mis à l'écriture de roman relativement tard, vers 58 ans, comme quoi, tout est possible...

José SARAMAGO


L'AVEUGLEMENT

TOUS LES NOMS