lundi 25 juillet 2016

AMOURS : VOYAGE DANS L'INTIMITÉ DES ÉGYPTIENS


AMOURS

       VOYAGE DANS L'INTIMITÉ DES ÉGYPTIENS

Repéré chez Keisha, il me fallait ce livre qui s'annonçait culturellement instructif sur l'Égypte, et ce, de façon plutôt originale. En effet, l'auteure, Marion Touboul, voyage façon "J'irai dormir chez vous" (quand elle peut) d'Assouan au Caire, en passant par Port-Saïd, le mont Sinaï, et j'en passe, pour mener une enquête inédite sur l'amour dans ce pays. 
"Amours" au pluriel car ce n'est pas tout à fait la même chose d'une ville ou d'un village à l'autre. Les traditions sont similaires mais localement adaptées, les moeurs plus souples par certains endroits, les mentalités identiques mais avec des variantes.

Marion TOUBOUL


AMOURS : VOYAGE DANS L'INTIMITÉ DES ÉGYPTIENS

vendredi 15 juillet 2016

CETTE NUIT, JE L'AI VUE


CETTE NUIT, JE L'AI VUE

traduit du slovène par Andrée Lück-Gaye

Il y avait quelque chose d'étrangement envoûtant dans ce titre et cette couverture, je n'ai donc pas résisté longtemps à la découverte de ce roman qui me permettait en plus de rajouter la Slovénie dans mes étagères.

"Cette nuit, je l'ai vue comme si elle était vivante." Le récit s'ouvre d'emblée sur une phrase quelque peu énigmatique - "Qui est-elle ? Est-elle vraiment morte ? Dans quelle circonstances ? Et le narrateur ?" - et en même temps installe une atmosphère un peu fantasmagorique teintée d'une certaine poésie mélancolique, de celle qui charme et touche simplement. J'ai trouvé cette atmosphère très plaisante, agréable, propre à émouvoir, mais sans effusion.

Drago JANCAR


CETTE NUIT, JE L'AI VUE

mardi 12 juillet 2016

ZAÏ ZAÏ ZAÏ ZAÏ


ZAÏ ZAÏ ZAÏ ZAÏ

Un album qui m'évoquait Joe Dassin, j'avoue, même avec une bonne dose d'humour, de délire et d'absurde à la Fabcaro qui m'avait déjà totalement conquise avec son Carnet du Pérou, c'était tue-l'envie de lire direct. J'avais par ailleurs du mal à imaginer que ça puisse être génial, même si tous ceux qui l'avaient lu s'accordaient pour le confirmer.
Intriguée tout de même par son succès et décidant de faire confiance à l'auteur, j'ai fini par vaincre mes réticences. Ayant lu les divers avis en diagonale, l'idée que j'avais de cette BD, c'était qu'il y avait une histoire de supermarché et un lien avec Joe Dassin. Mais quel lien peut-on tisser entre une histoire de supermarché et Joe Dassin tout en proposant une intrigue originale, truculente, subtile, désopilante, qui tienne la route ?

lundi 4 juillet 2016

TAXI DRIVER SANS ROBERT DE NIRO


TAXI DRIVER SIN ROBERT DE NIRO

( TAXI DRIVER SANS ROBERT DE NIRO )

traduit de l'espagnol (Pérou) par Aurélie Bartolo

Un écrivain péruvien, un titre très intrigant et affriolant avec cette référence au film de Scorsese et à un Robert de Niro certes absent mais bizarrement plus présent dans ma tête de ce fait, voilà qui m'a vite imposé ce livre comme une lecture plus ou moins urgente. J'avais même commencé à me faire un film de ce livre. Je visualisais une histoire de chauffeur de taxi mais sans Robert de Niro dedans, et avec tout de même une ambiance à la Scorsese, ce qui était un peu vague car en fait je n'ai jamais vu "Taxi Driver", tout cela donc dans un contexte péruvien, ce qui était encore plus vague vu que je n'ai jamais mis les pieds au Pérou. 

Fernando AMPUERO


TAXI DRIVER SANS ROBERT DE NIRO