dimanche 24 juin 2018

LA PIÈCE


LA PIÈCE

traduit du suédois par Rémi Cassaigne

Au départ, c'était La Facture du même auteur, Jonas Karlsson, que je voulais lire. Le résumé me parlait bien, le thème me semblait original, et je l'avais repéré suite à des retours plutôt positifs sur la blogo. Bien sûr, La Pièce, son deuxième roman traduit en français, est paru avant que je ne me sois lancée, et comme le résumé me plaisait bien aussi, voire davantage, et surtout, que c'était le titre disponible dans ma bib', je me suis dit que je pouvais bien commencer par celui-là.

Ce que j'avais retenu de la quatrième de couv', c'est le personnage principal, Björn, "muté à l'Administration, mégalomane sur les bords, ayant une opinion démesurée de son rôle, arrogant, psychorigide, refusant de fraterniser ou bavarder inutilement avec ses collègues" qu'il se met du coup à dos.

Jonas KARLSSON


LA PIÈCE

samedi 16 juin 2018

Quoi de neuf, blogueuse ? ;-) (Pratiques, TOC et paradoxes) (#tag)


Fut une époque où j'aimais bien les tags bloguesques. Jouer le jeu du moins. Avec ceux concernant  de plus ou moins près l'univers des livres en tout cas. Et j'aime toujours. Sauf que j'ai déjà un tel retard de billets de lecture que l'idée de donner suite à un tag devient vite utopique, voire risible, et finit par s'étioler doucement. À moins de m'y mettre tout de suite !
Alors voilà, à peine taguée par The Autist Reading que je profite de cette énergie furtive et inespérée venue de nulle part pour livrer mes secrets de lectrice-blogueuse à cinquième de temps.

dimanche 10 juin 2018

JE NE SUIS PAS UNE HÉROÏNE


JE NE SUIS PAS UNE HÉROÏNE

De Nicolas Fargues, je n'avais lu que Rade Terminus que j'avais aimé au point de noter cet auteur français dans mes petits carnets comme une valeur sûre et de me promettre de revenir à lui au plus vite. Dix ans sont passés, non pas que je n'avais pas remarqué ses publications assez régulières mais ces dernières ne m'inspiraient jamais assez pour me précipiter (#unjour #PAL). Jusqu'au billet tentateur de Keisha (#jebalance ^^) sur son petit dernier qui, ma foi, semblait faire l'affaire pour enfin revenir à cet auteur. 
Un billet qui rendait ce roman très intrigant car, a priori, on ne pouvait pas trop en révéler (ouh, là je me dresse de suite tel le suricate !). Surtout sur le personnage principal, la narratrice (pupilles de chat dans le noir !). "Une trentenaire parisienne à bonnes copines, enchaînant les rencontres amoureuses et autant de déceptions", une trame qui pourrait "faire croire à un chick-lit de plus", mais "que nenni !" affirmait Keisha. Voilà qui me rassurait.

dimanche 3 juin 2018

COMME UN CHEF


COMME UN CHEF

Un énième album sur la cuisine ? Dans mes bras ! Dès qu'on parle expériences culinaires, amour et passion pour la nourriture, je réponds, "présente" ! C'est un thème auquel je ne cherche pas à résister. C'est simple, j'en raffole ! Dès que je l'ai repéré en librairie, j'étais comme folle. D'autant plus qu'Aurélia Aurita était aux commandes graphiques. C'était pour moi une valeur sûre. J'étais moins convaincue par Benoît Peeters dont je ne connaissais que sa casquette de scénariste de BD, et encore, assez mal car je n'ai lu (et ça remonte) que deux albums sur le Japon auxquels avait participé Frédéric Boilet et ça ne m'avait pas laissé un souvenir très marquant. J'avais également vu son nom associé à celui de François Schuiten pour d'autres BD a priori de renom mais dont l'univers ne me parlait pas vraiment. Bref, ça faisait un moment que je ne m'intéressais absolument pas à ce qu'il pouvait produire.