MOI QUI N'AI PAS CONNU LES HOMMES
40 femmes se retrouvent encagées dans une cave sous la surveillance de gardes impassibles à la suite d’une catastrophe dont personne n’a le souvenir. L’une d’entre elles, la narratrice, qui n’a, à la différence des 39 autres, aucun souvenir de la vie avant leur emprisonnement, va se poser des questions, entre autres sur le sens de cette situation, et entraîner les autres à la réaction. Elles vont se réorganiser telles des Robinson Crusoé, alors qu’un événement inexpliqué va changer le cours de leur existence. Changer ? Pas sûr…
"Fable anticipatrice", "thriller logique" qui a suscité chez moi une certaine réflexion sur la condition humaine, notre relative liberté, le sens de la vie, ce qui nous pousse à vivre ou à survivre suivant les circonstances.
J’ai trouvé ce récit assez pessimiste, genre gloups, en refermant la dernière page. En fin de compte, on se retrouve comme chacune de ces femmes qu’on a accompagnées le long de cette histoire et qui disparaissent, sans explication quant au pourquoi et comment de leur vie sur cette planète, sans lueur d’espoir.
J’ai trouvé ce récit assez pessimiste, genre gloups, en refermant la dernière page. En fin de compte, on se retrouve comme chacune de ces femmes qu’on a accompagnées le long de cette histoire et qui disparaissent, sans explication quant au pourquoi et comment de leur vie sur cette planète, sans lueur d’espoir.
J'ai trouvé ce récit vraiment intéressant et marquant, j’ai aimé notamment l’originalité du scénario, le processus d’adaptation de ces femmes face à leur situation et à leur environnement, et le réalisme des "réponses" apportées aux divers pourquoi , mais je suis encore en train de digérer là, alors je reste sur une note de tristesse, de tragique, de sinistre, de… brrr…
J'étais quand même agréablement surprise parce que je ne m'attendais pas du tout à ce genre d'histoire en me référant au titre et à l'auteur.
étonnant de la part de Harpman, une auteure belge que je découvre avec plaisir et Ostende est son lieu de prédilection
RépondreSupprimerJ'ai encore un très bon souvenir de ce roman lu il y a plusieurs années maintenant.
SupprimerCe commentaire qui le ressort des archives me donne presque envie de lire d'autres romans de Harpman!!
pour ma part c'est ce que je vais faire
SupprimerBonne idée! Je vais, de mon côté, farfouiller dans sa bibliographie pour m'inspirer.
SupprimerBonjour, étant Belge , j'avais acheté son livre " Du côté d'Ostende" publié chez Grasset et vous m'avez donné envie de le lire très prochainement et mon mari ( denis) devrait le lire également! Amitiés, Fabienne
RépondreSupprimerBonjour,
SupprimerJe suis très curieuse de savoir ce que vous en penserez. Je guetterai votre commentaire à ce sujet. Si, par ailleurs, vous avez d'autres auteurs belges à recommander, je suis toute ouïe!
Bonne lecture!
je suggère Henry Bauchau, Colette Nys-Mazure pour n'en citer que deux pour ma part je vais faire un article sur Paul Nothomb, le grand-oncle d'Amélie N. amitiés Denis
SupprimerMerci pour ces recommandations! J'ai l'impression qu'ils écrivent plutôt de la poésie que des romans, non?
SupprimerAaah, Amélie N.! Je me suis toujours demandée comment elle était perçue en Belgique.
Voilà j'y suis: cette auteur a l'air quand même à lire, dis donc!
RépondreSupprimerOui, elle semble avoir de la ressource et plus d'une corde à son arc !
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