LE GARDIEN INVISIBLE
traduit de l'espagnol par Marianne Millon
Voilà, j'ai lu mon premier Dolores Redondo, cédant à la curiosité de ce phénomène espagnol comparé à notre Fred Vargas nationale. Bon, mis à part le fait que toutes les deux sont des auteures de polar, pour moi les similarités s'arrêtent là. Le bandeau de couverture va jusqu'à la désigner comme la cousine espagnole de Vargas. Euh, cousine très très éloignée alors. Je trouve Vargas un cran au-dessus au niveau de l'écriture.
Je me suis aussi laissée tenter par la découverte de Dolores Redondo sur la foi de l'enthousiasme de ses lecteurs. En fait, à la relecture de leurs avis, je me suis rendu compte que c'était tout de même plus mesuré que je ne le pensais.
Ce premier volet de la trilogie du Baztán introduit l'inspectrice Amaia Salazar, très vite dans le feu de l'action suite à la découverte du cadavre d'une jeune fille sur les bords de la rivière Baztán.