J'IRAI DANSER (SI JE VEUX)
précédemment paru sous le titre Autopsie d'une femme plate
Un titre sur lequel je ne me serais jamais arrêtée si l'auteure n'était pas Marie-Renée Lavoie, adoubée auteure chouchou depuis que j'ai lu La Petite et le Vieux, une de mes révélations 2017.
Un titre qui sentait un peu le trop léger, le frivole sans élément de curiosité particulier, le sûrement pas mauvais et pourquoi pas mais très contournable comme il y en a tant. Je préfère de loin le titre original de l'édition québécoise, Autopsie d'une femme plate. qui évoque quelque chose qui a plus de corps, de mystère, qui intrigue même.
Le contexte de l'histoire n'était lui-même pas des plus emballants (par rapport à mes goûts) :
Une femme, la cinquantaine, trompée par son mari pour une plus jeune. L'effondrement. La descente aux enfers. Coachée par une bonne amie pour qu'elle refasse surface. Du classique, du vu et revu qui ne m'a jamais vraiment attirée comme thématique.